Le volume s’ouvre sur une très belle préface de Jean- Luc Buard (dont j’ai appris après une recherche sur le oueb, qu’il avait été invité par Mauvais genre), qui m’a donné envie de lire le reste des écritd de C .A . Smith avant même d’avoir lu ce livre. Il y explique la structure du « monde » de l’auteur, y donne des repères vraiment utiles pour la lecture de ce volume.
Puis c’est le plongeon dans ce monde, de nouvelles en nouvelles, avec ces sauts dans le temps, de cycle en cycle, l’Hyperborée, l’Atlantide, l’Averoigne et le Zothique. Avec ces personnages qui subissent un pouvoir qui touche à l’interdit. Celui de la mort, de l’immortalité. On ne peut pas vraiment parler de héros dans ces nouvelles, tant ces protagonistes, les victimes ont peu leur mots à dire. Comme le dit J.L. Buard, ils subissent, sans espoir de s'en sortir. Les seuls gagnants étant, en général, les tenants des pouvoirs sur la mort.
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