Il n’a plus qu’une seule priorité, la sauver. Il va alors se retrouver au milieu d’intrigues princières, de complot, de règlements de compte de jeunesse.
Aidé par Alexis, jeune garçon débrouillard, il va poursuivre sa quête, sautant de case en case dans un labyrinthe autant psychologique que réel, détective débutant, jouet des puissants.
Mélange d’enquête policière et de fantastique, où l’on retrouve invention mécanique et alchimie, seule trace véritable d’étrange, l’intrigue ne laisse que peu de temps à la découverte d’une ville originale, située dans une Renaissance imaginaire. Les personnages secondaires sont intriguants, surtout le Prince de la petite Dvern, apportant une sensation de violence sous-jacentes, parfois réelle.
Les trois cents pages se lisent facilement, suivant les effets de l’éducation d’un père à l’esprit tordu sur ses quatre enfants.
Les héros ne font rien de formidable, ne sont pas de grands guerriers, et lorsqu’il y a violence, ils en sont victimes. Tout se jouera pour eux par la réflexion, par l’enquête, les recoupements.
Une lecture agréable, à rapprocher des polars historiques, et qui trouve tout juste sa place dans le fantastique, l’imaginaire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire